THEATRE « DURAS La vie qui va »

 

Textes de Marguerite Duras.

Adaptation, interprétation et mise en scène Claire Deluca et Jean-Marie Lehec

 

Rapprochant les textes les plus inattendus et méconnus de l'oeuvre de Marguerite Duras (duShaga aux 

Eaux et forêts en passant par OutsideLes yeux verts et Emily L.), Claire Deluca et Jean-Marie Lehec

offrent un témoignage de cette écriture dont on parle tant sans pouvoir jamais en faire le tour.

Saisissantes échappées truffées d'humour et de tendresse, cette création originale s'affranchit du poids

des conventions de la logique et du temps, dans le plus pur esprit durassien : "des gens que la parole entraine".

"Duras la vie qui va", a été créé à Paris au Théâtre de Poche Montparnasse le 13 septembre 2013. Il fut

l'un des spectacles durassiens les mieux accueillis par la presse.   

60mn

  

uelques extraits de presse...

 

Un moment de grâce à la Duras comme une gorgée

d’eau sur la nuque, un ange qui passe, qui chatouille.

Evelyne Trân / Le Monde

 

On plonge avec autant de bonheur dans l’écoute

de Marguerite Duras que dans la lecture d’un de

ses romans, et ce n’est pas peu dire.

Jack Dion /Marianne 


 

À partir de textes de Marguerite Duras qui s’enchaînent

sans autre lien que des rapprochements cocasses, des échos, Claire Deluca et Jean-Marie Lehec imaginent un spectacle léger comme une bulle de savon, délicieux et amusant, qui révèle une écriture inattendue, à la limite du théâtre absurde. Des textes sur la petite vie de gens croqués à vif, des phrases aux mots banals qui s’ouvrent subitement sur des questions abyssales concernant la mort, le sens de la vie. Le spectacle fait penser parfois à certains sketchs-poèmes de Raymond Devos, il en a l’originalité, l’humour et la poésie. Claire Deluca est remarquable.

Sylviane Bernard-Gresh/ Télérama 

 


 

...L’on découvre ainsi que Duras est cousine de Dubillard dans sa torsion comique de la réalité. Les deux acteurs jouent dans le vide et sont brillamment en apesanteur. Claire Deluca est naturellement durassienne ; même la bouffonnerie, elle la joue avec l’élégance du coeur et de la voix. Jean-Marie Lehec va vers le prosaïsme et dégage la folie douce de M. Tout le monde. C’est le parfait duo de la Duras délirante. Gilles Costaz / Théâtral Magazine

 

 

Les deux comédiens sont redoutables quand

il s’agit de rendre le jeu désinvolte des mots.

Dimitri Denorme /Le Pariscope


 

 

La Comédienne Claire Deluca, qui a joué sous la direction de Marguerite plusieurs de ses pièces, a réuni des extraits de ses textes dramatiques sous le titre : Duras la vie qui va. Elle les livre avec Jean Marie Lehec, tous deux signant la mise en scène dans le plus simple appareil (deux chaises hautes). Ce sont des petits riens inspirés de la vie quotidienne, dont Duras sut tirer tout le sel. Quelque chose à la fin des Diablogues de Dubillard; autant d’incursions malignes sur un territoire d’absurdité contées avec gourmandise. Jean-Pierre Léonardini / L’Humanité

 

 

Duras, la vie qui va est une des meilleures pièces de la rentrée : touchante, comique, fine,
littéraire, presque poétique, elle est comme un moment suspendu tant elle est prenante.


Pierre François/France Catholique

 

 

On est au cœur de l’absurde et de la subversion où tout est dans le déséquilibre des mots et les comédiens savent en jouer. De facture classique et sans surprise, le duo sert ce texte comme deux instrumentalistes au bord d’un trottoir, laissant à Duras toujours le dernier mot.

Brigitte Rémer /Théâtre du Blog


 

Avec finesse Claire Deluca apporte la parole durassienne en exprimant ses nuances et sa musicalité avec une gourmandise joyeuse et cohérente. À ses côtés, Jean-Marie Lehec, dans un autre registre, apporte un contrepoint judicieux porteur d’autres tonalités et colorations. Ensemble, ils contribuent à offrir avec légèreté et fluidité une promenade réjouissante au cœur d’une écriture aux multiples aspects.

Webthea


 

 

Une pépite à découvrir et à ne pas laisser passer. Théâtrorama

 

 

Bien que rayonnante, toujours dans une attitude suspendue et nostalgique, Claire Deluca perpétue avec émotion, le souffle sans égal de Duras. Attachante, douce et pétillante, aux intonations proche de Jeanne Fusier-Gir, elle intensifie et prolonge l’espace de Théâtre de Poche Montparnasse, jusqu’à troubler la véracité de la fiction. Accompagnée par Jean-Marie Lehec, qui incarne une absurdité amusante, ils portent, tous les deux, avec croyance et passion, cette écriture de la perte, cette musique inimitable.

Savannah Macé / Huffingtonpost

 

 

C’est joyeusement absurde, incohérent, mais si drôle ! Anne Delaleu / Théâtre Passion


 

 

Leur tandem diffuse à la fois un soupçon de folie et un grande tendresse. BBC news

 

 

Une petite merveille de fraîcheur. Un bel exercice et un moment de charme qui file comme l’éclair, porté par un jeu tout en finesse et en gourmandise et une scénographie sobre et poétique.

 

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